Santé des mineur·es trans : stop à la désinformation et à la panique réactionnaire 

Tribune de professionnel·les de santé

 
Face à différentes publications dans lesquelles des soignant·es disent s’interroger ou s’alarmer de la prise en soin des jeunes personnes trans [1], [2], [3], nous, professionnel·les de santé membres de l’association Pour une M.E.U.F. (Médecine Engagée Unie et Féministe), souhaitons proposer une lecture de la situation qui s’appuie sur les preuves scientifiques et sur l’éthique. 
 

1.      Sur l’épidémie présumée chez les jeunes

 
Les publications en question mettent en garde contre une supposée « épidémie » de transitions. 
 
Le seul article publié à ce sujet pour appuyer cette affirmation s’intitule « Parent reports of adolescents and young adults perceived to show signs of a rapid onset of gender » [4]. Dans cette étude, Lisa Littman fait l’hypothèse d’une vague soudaine de transitions liées à un effet de contagion par les réseaux sociaux et d’une dégradation de la santé mentale des personnes après la transition. Elle décrit alors une dysphorie de genre (*) qui serait transitoire et circonscrite à l’adolescence, avec un impact négatif sur les jeunes. Depuis sa publication, l’article a connu de multiples révisions car il présentait des biais méthodologiques majeurs. Ainsi, les données n’ont pas été recueillies auprès des adolescent·es et jeunes adultes elleux-mêmes. L’étude porte sur la vision des parents, au travers de témoignages sur des forums et sites Internet, recueillis à l’aide de questionnaires en ligne facilement falsifiables. Les auteur·es écrivent dans l’article révisé : « Nous rappelons aux lecteurs qu’il s’agit d’une étude sur le rapport des parents et que la prise en compte des informations auxquelles les parents peuvent ou non avoir accès est un élément important des conclusions ».
 
Dans un article de 2020, Florence Ashley, chercheuse en bioéthique et juriste, montre comment cette dénomination « Rapid onset of gender dysphoria« , sous couvert de scientificité, rejette l’ensemble des travaux qui montrent les bénéfices d’une approche trans-affirmative dans les soins [5]. Les approches trans-affirmatives sont basées sur un accompagnement non-pathologisant, respectant l’auto-détermination et l’expertise des personnes sur leurs vies. 
Depuis l’article de Lisa Littman publié en 2018, aucune autre étude n’a pu confirmer l’hypothèse d’un phénomène nouveau menant à la multiplication des transitions. Il n’y a donc pas à ce jour matière à penser qu’il existe réellement un phénomène nouveau de transition de genre qui survient pendant l’adolescence et qui serait plus susceptible d’être passager, ni qu’il reviendrait au médecin de valider l’identité de genre d’une personne.
 
À ce jour, nous avons peu de données pour la France. La CNAM [6] (Caisse Nationale d’Assurance Maladie) dénombre en 2020 quelques 294 bénéficiaires de l’ALD (Affection Longue Durée) transidentité de moins de 18 ans, contre 8 en 2013, ce qui ne rend probablement pas compte du nombre réel de mineur·es concerné·es.
Si on observe le relevé des hospitalisations pour les chirurgies d’affirmation de genre chez les personnes majeures, la CNAM rapporte 1615 séjours en 2020 contre 536 en 2011. Ces interventions répondent à un besoin des personnes trans et leur augmentation peut traduire un meilleur accès à ces soins. De plus, les professionnel·les sont de mieux en mieux formé·es et de nouvelles équipes hospitalières ont vu le jour. Celles-ci peuvent ainsi proposer ces techniques à des personnes qui auparavant devaient renoncer à l’intervention ou aller à l’étranger. Rappelons aussi que l’ensemble des personnes trans ne souhaitent pas avoir recours à une chirurgie, ni être bénéficiaires de l’ALD. Ainsi, ces chiffres ne constituent pas des indicateurs suffisamment fiables pour refléter la réalité et la diversité des situations.
 

2. Sur le regret et les détransitions

 
Les collectifs transphobes avancent souvent le caractère irréversible des transitions médicales, jugées d’autant plus dommageables que les cas de détransitions seraient nombreux.
 
Ainsi, il existerait selon l’Académie de Médecine [1] « un nombre croissant de jeunes adultes transgenres souhaitant détransitionner ». Cette affirmation non sourcée semble s’appuyer sur le risque de regret d’une opération chirurgicale et non pas d’une transition en tant que telle. Une étude menée au Royaume-Uni ne rapporte que 0,48% de personnes trans exprimant un regret ou un souhait de détransitionner [7]. 
Une étude sur plusieurs centaines d’enfants trans âgé∙es d’en moyenne 8 ans montre qu’après 5 ans de transition sociale, seulement 2,5 % changent d’avis et s’identifient à nouveau à leur genre de naissance [8]. 
 
Il faut noter que l’on retrouve souvent des raisons externes et de surcroît liées à la transphobie dans le désir de détransitionner. On peut citer : le suivi médical insuffisant ou maltraitant, les techniques opératoires encore mal maîtrisées, les éléments juridiques (difficulté de changer son état civil), les difficultés familiales, la stérilisation forcée… Une étude américaine publiée en 2021 montre ainsi que parmi les personnes qui ont détransitionné, 82 % évoquent un facteur externe, notamment la pression familiale et la stigmatisation [9]. 
 
Les sociologues spécialisé·es sur la question interrogent cette notion même de regret. Dans une conférence [10], les sociologues québécoises Morgane Gelly et Annie Pullen Sansfaçon présentent les résultats de leur enquête sur les jeunes qui détransitionnent. Leurs préconisations vont dans le sens d’une approche trans-affirmative, avec un cadre souple qui pourrait répondre aux attentes de chaque jeune sans imposer de parcours rigide. 
 

3.      Sur la santé mentale

 
La « particulière vulnérabilité, en particulier psychologique » des personnes trans [1], et les prétendus nombreux effets indésirables des traitements disponibles, sont souvent invoqués dans les communications citées, sans toutefois apporter de sources scientifiques à ces affirmations.
 
Il est vrai que le taux de suicide des personnes trans est élevé : 56 % de personnes trans ont connu un ou des épisodes dépressifs suite à des actes transphobes et 18 % ont fait une tentative de suicide [11]. Ces chiffres sont cohérents avec ceux d’une étude américaine de 2014 [12] qui retrouve 44 % de tentatives de suicide, soit un taux 7 fois plus élevé que dans la population générale. Toutefois, l’étude relève que les facteurs de risque mis en évidence sont les conséquences de la transphobie : le harcèlement scolaire (50 %), la perte de contact avec la famille (57 %), l’absence de domicile fixe (69 %) et le refus de transition de la part des soignant·es (60 %).
 
Ce dernier chiffre est d’autant plus important qu’une étude de 2022 [13] montre que l’accès aux bloqueurs de pubertés ou aux hormones d’affirmation de genre diminue de 60 % la dépression et de 73 % les tendances suicidaires chez les jeunes trans et non-binaires.
 
Une récente tribune de professionnel·les et d’associations [14] s’est opposée à tout accompagnement transaffirmatif pour les enfants autistes. Les raisons invoquées sont des risques irréversibles liés à la transition médicale, une forte influençabilité des jeunes neuroatypiques, ainsi qu’une résolution spontanée de « l’incongruence de genre » à l’âge adulte. Ces arguments, identiques à ceux présentés précédemment, ont déjà été critiqués. 
Le trouble du spectre autistique, 3 à 6 fois plus fréquent parmi la population trans [15], n’empêche ni d’exprimer un consentement aux soins, ni de s’auto-déterminer. Exclure les jeunes autistes de l’accompagnement de transition ne va les amener qu’à masquer leurs TSA (troubles du spectre autistique) auprès des professionnel·les consulté·es tout en dégradant leur santé mentale et plus globalement leur accompagnement en santé. 
 
Finalement, la santé mentale est fragilisée par l’expérience de la transphobie et une offre de soins psychologiques adaptée semble nécessaire. En revanche, il est inexact de considérer la transidentité comme une vulnérabilité en soi. Par ailleurs, l’accès à des traitements hormonaux a prouvé avoir un impact positif sur la santé mentale des personnes trans.
 

4.       Sur le parcours de soin des mineur·es trans

    
Il est indispensable de prendre le temps d’aborder spécifiquement l’accompagnement médical des jeunes mineur·es, car les critiques se concentrent souvent sur ce sujet. La protection de l’enfance est utilisée comme un épouvantail pour stopper toute discussion. 
 
Le parcours de soins pour les mineur·es se compose en général comme suit [16]
Lorsqu’un∙e enfant questionne son identité de genre ou bien s’affirme dans le genre opposé à celui assigné à la naissance, iel peut demander à être appelé·e par un nouveau prénom et à changer de pronoms (il, elle, iel, etc). L’accompagnement médical repose alors sur l’accueil de ces questionnements, dans un environnement bienveillant permettant à l’enfant d’explorer son identité de genre et de respecter ses choix, notamment en terme de pronoms. Cette pratique ne présente pas de risque et permet d’accéder à un bien-être immédiat.
Lorsque la puberté débute, la question d’un traitement médical peut émerger. A l’apparition des signes de puberté, l’utilisation de bloqueurs de puberté permet de suspendre de manière réversible ces changements corporels lorsqu’ils ne sont pas voulus par l’adolescent·e. L’introduction secondaire d’un traitement hormonal vers l’âge de 16 ans permet ensuite de développer les caractères sexuels secondaires attendus par l’adolescent·e trans. La prescription est conditionnée à l’accord parental et les effets sont pour la plupart réversibles en cas d’arrêt. Face aux présumés effets indésirables à long terme des traitements hormonaux, il paraît important de citer les risques du non-accès au traitement : mal-être, rupture familiale, sociale, scolaire, mais aussi recours à l’hormonothérapie par des biais détournés. 
Le choix de refuser de prescrire les traitements médicaux après le début de la puberté est une pratique maltraitante, contraire aux données de la science, augmentant le risque suicidaire et dégradant l’état de santé global [17]
 
Les thérapies dites « exploratoires de genre », visant à traiter la transidentité comme une pathologie indésirable, relèvent des thérapies de conversion et d’un refus de soin en opposition avec les données actuelles de la science [18]. Ces pratiques augmentent le risque de détresse psychologique sévère et multiplient par deux le risque de tentative de suicide (voire par quatre quand la « thérapie » intervient avant l’âge de 10 ans) [19].
 
La chirurgie, figurant parmi les actes irréversibles employés comme arguments pour retarder la transition des mineur∙es trans, n’est en réalité quasiment jamais pratiquée avant l’âge adulte. Les chirurgies génitales ne peuvent en aucun cas être prodiguées à des mineur∙es et seules les chirurgies du torse peuvent exceptionnellement avoir lieu quelques mois avant la majorité. 
 
Loin donc d’un risque de dommages irréversibles, l’accompagnement médical d’un∙e jeune trans consiste principalement à utiliser les pronoms et le prénom désirés par la personne, puis à proposer à l’apparition des signes pubertaires un traitement dont la balance bénéfice-risque reste indubitablement en faveur de son utilisation. Il revient à la personne concernée de décider du parcours qui lui convient et aux professionnel·les de se positionner comme un soutien respectueux de cette auto-détermination, tout en proposant des soins basés sur les connaissances validées par la science. Des études de plus grande ampleur restent nécessaires pour faire l’état des lieux de l’accompagnement des mineur·es trans en France et déterminer avec précisions l’impact au long cours des traitements hormonaux.
 
 

Pour conclure

 
Nous venons de le montrer, il existe déjà des références sur lesquelles s’appuyer pour accompagner les populations trans. Choisir d’ignorer ces données est un parti-pris des différents collectifs transphobes, dont les publications sont pauvres en sources scientifiques, se fondant essentiellement sur des a priori. Nous ne pouvons pas ignorer les liens entre les différentes organisations transphobes et les lobbys anti-LGBT [20]. Pour ne citer qu’elle, l’Académie de Médecine est connue pour ses positions rétrogrades concernant l’accès à la PMA pour les couples de même sexe et les femmes seules, concernant l’homoparentalité ou encore sur l’IVG. Il n’est pas étonnant qu’elle adopte une posture transphobe mais également contraire à l’éthique et non fondée sur les preuves. Rappelons que ces prises de positions sont en décalage avec les recommandations de la délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT. En effet, en 2019, la DILCRAH  a publié un guide de bonnes pratiques [21], facile d’accès, afin de garantir le respect des personnes trans, tandis que la Haute Autorité de Santé travaille avec des représentant·es des usager·es pour publier en septembre 2023 des recommandations de bonnes pratiques [22]
 
Ainsi, tout en soutenant la recherche sur le parcours et la santé des personnes trans, nous pouvons d’ores et déjà nous engager pour offrir une meilleure offre de soins à toustes : soins en santé mentale, préservation de la fertilité, accès à la parentalité, accompagnements des grossesses des personnes trans, dépsychiatrisation des parcours de transition. Des personnes trans concernées par leur prise en soins ont créé des outils à destination des professionnel·les de santé et des supports d’informations [23] [24] . Il existe également de nombreuses formations à l’accompagnement des personnes trans [25] [26] [27] [28] [29] [30] ainsi que des ouvrages [31] . Il est donc du devoir de chaque soignant·e d’en prendre connaissance et de se former pour assurer un accompagnement de qualité. 
 
(*) Dysphorie de genre : terme utilisé dans le DSM 5 pour qualifier les situations où, chez les personnes trans, l’incongruité entre l’identité de genre et le genre assigné à la naissance provoque de la souffrance.
    
    

SOURCES 

 
[1] Communiqué de  l’Académie de Médecine  « La médecine face à la transidentité de genre chez les enfants et les adolescents » février 2022 
 
[2] Mineurs transgenres : « Au nom de l’éthique, il faut interdire le recours à la méthode hormono-chirurgicale »
 
[3] Appel de l’Observatoire de la Petite Sirene https://www.observatoirepetitesirene.org/texteintegral 
 
[4] Littman L (2019) Correction: Parent reports of adolescents and young adults perceived to show signs of a rapid onset of gender dysphoria. PLoS ONE 14(3): e0214157. https://doi.org/10.1371/journal.pone.0214157 
 
[5] Florence Ashley, « Rapid-Onset Gender Dysphoria »  », GLAD! [En ligne] http://journals.openedition.org/glad/5756 articles mettant en évidence les bénéfices des transitions chez les jeunes Durwood et al., 2017; Lopez et al., 2017; Olson et al., 2016; Telfer et al., 2018; Turban et al., 2020; What We Know, n.d. https://theconversation.com/why-rapid-onset-gender-dysphoria-is-bad-science-92742
 
[6] Rapport relatif à la santé et aux parcours de soins des personnes trans ; Dr Hervé Picard et Simon Jutant  mars 2022 https://sante.gouv.fr/ministere/documentation-et-publications-officielles/rapports/sante/article/rapport-relatif-a-la-sante-et-aux-parcours-de-soins-des-personnes-trans
 
[7] DAVIES S., MCINTYRE S., RYPMA C., Detransition rates in a national UK Gender Identity Clinic, Book of abstracts of the 3rd biennal EPATH Conference Inside Matters. On Law, Ethics and Religion,  11-13 April 2019. https://epath.eu/wp-content/uploads/2019/04/Boof-of-abstracts-EPATH2019.pdf p.118
 
[8] Olson KR, Durwood L, Horton R, Gallagher NM, Devor A. Gender Identity 5 Years After Social Transition. Pediatrics. 13 juill 2022.  https://publications.aap.org/pediatrics/article/150/2/e2021056082/186992/Gender-Identity-5-Years-After-Social-Transition
 
[9]Turban JL, Loo SS, Almazan AN, Keuroghlian AS. Factors Leading to « Detransition » Among Transgender and Gender Diverse People in the United States: A Mixed-Methods Analysis. LGBT Health. 2021 May-Jun;8(4):273-280 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8213007/
 
 
[11] Alessandrin A, Espineira K. Les contours de la transphobie. Sociologie de la transphobie. Pessac : Maison des sciences de l’homme d’Aquitaine; 2015. 182 p.
 
[12] Herman, J., Haas, A., & Rodgers, P. (2014). Suicide Attempts Among Transgender and Gender Non-Conforming Adults. UCLA: The Williams Institute. 18p. https://queeramnesty.ch/docs/AFSP-Williams-Suicide-Report-Final.pdf
 
[13]  David J. Inwards-Breland, MD, MPH; Diana M. Tordoff, MPH; Jonathon Wanta, MD; Cesalie Stepney, Ph.d, Mental Health Outcomes and Receipt of Gender-affirming CarePediatrics (2022) 149-590. https://publications.aap.org/pediatrics/article/149/1%20Meeting%20Abstracts%20February%202022/590/186447/Mental-Health-Outcomes-and-Receipt-of-Gender?autologincheck=redirected?nfToken=00000000-0000-0000-0000-000000000000].
 
[14] Le Point 12/02/2023 Transidentité chez les mineurs autistes : pas si vite ! https://www.lepoint.fr/debats/transidentite-chez-les-mineurs-autistes-pas-si-vite-17-02-2023-2509044_2.php
 
[15] Cooper, K., Mandy, W., Butler, C., & Russell, A. (2022). The lived experience of gender dysphoria in autistic adults: An interpretative phenomenological analysis. Autism, 26(4), 963–974. https://doi.org/10.1177/13623613211039113
 
[16] Rapport ministériel relatif à la santé et au parcours de soins des personnes trans  https://www.vie-publique.fr/rapport/284386-transexualite-sante-et-parcours-de-soins-des-personnes-trans
 
[17]Coleman E, Radix AE, Bouman WP, Brown GR, de Vries ALC, Deutsch MB, et al. Standards of Care for the Health of Transgender and Gender Diverse People, Version 8. International Journal of Transgender Health. 19 août 2022;23(sup1):S1‑259.
 
[18] Wylie K, Knudson G, Khan SI, Bonierbale M, Watanyusakul S, Baral S. Serving transgender people: clinical care considerations and service delivery models in transgender health. The Lancet. 23 juill 2016;388(10042):401‑11.
 
[19]Turban JL, King D, Carswell JM, Keuroghlian AS. Pubertal Suppression for Transgender Youth and Risk of Suicidal Ideation. Pediatrics. 1 févr 2020;145(2):e20191725.
 
 
 
 
[23] Guide LGBTQI+ à destination des professionnel·les de santépour un meilleur accueil des minorités genrées, sexuelles et sexuées, par le CRIPS Ile-de-France https://www.lecrips-idf.net/guide-sante-personnes-lgbtqi
 
[24] L’accueil médical des personnes trans, par l’association Chrysalide https://chrysalide-asso.fr/nos-documents/laccueil-medical-des-personnes-trans/
 
[25] Formations du ReST (Réseau Santé Trans) https://reseausantetrans.fr/formations/
 
 
[27] Formations de l’association RITA (Grenoble) https://assorita.org/formations/
 
[28] Formations de l’association OUTrans (Paris) https://outrans.org/nos-formations/
 
[29] Formations de l’association Chrysalide (Lyon) https://chrysalide-asso.fr/nos-formations/
 
[30] Formation en ligne Trans·diversité 2 : santé et services sociaux https://catalogue.edulib.org/fr/cours/umontreal-dsg102/
 
[31] Jeunes trans et non binaires. De l’accompagnement à l’affirmation. Sous la direction de Denise Medico et Annie Pullen Sansfaçon. Editions du Remue-Ménage, 2021.
 

terme utilisé dans le DSM 5 pour qualifier les situations où, chez les personnes trans, l’incongruité entre l’identité de genre et le genre assigné à la naissance provoque de la souffrance.

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